Mais qu'ils arrêtent!!!!!!!

Bon, y en a marre, je pousse un coup de gueule là!!! non mais les maisons de proders sont venus chez moi et ont matté ce que je lisais ou quoi??!!! non mais qu'elles hypothèquent directement mon appart, ma voiture et mon album collector de bézu!! voilà la dernière bombe sortie par sideshow :

Galactus, alias le dévoreur des mondes! une bombe absolue que de faire se régulateur de l'ordre interplanétaire! un perso central de l'univers marvel et à 1.000 lieu du pauvre galactus du film les 4 en plastique (merci titou...).
Un buste tout simplement énorme, avec une version exclusive qui présente une plaque nomonative, pas un grand plus c'est clair, mais le tirage de cette version est de 150 ex au monde, un petit chiffre écoulée en moins d'une minute!!! un record absolue! on pensait avoir tout vu avec la préco de l'iron man stealth, quenéni (euh ça doit pas s'écrire comme ça, d'ailleurs, c'est pas un vrai mot, donc je l'écrit comme je veux!).
Enfin bon, une bombe qui passera loin de chez moi malheureusement, sauf si l'ordre cosmique est rétabli!

La Grosse Baston!

Ca faisait assez longtemps que j'avais pas eu une aussi grande claque au niveau d'un proders et surtout d'un proders de bd franco-belge. J'étais plus sur le comics dernièrement mais festival d'angoulême oblige, la bd est de retour, et la société Attakus frappe encore très fort.
Pour ceux qui ne le savent pas (99.9% des français je pense) Astérix et Obélix vont souffler leur 50ème bougie! Pour l'occasion, Attakus réalise une pièce de fou furieux. Tous les gamins de france qui ont lu une bd, on quasiment à coup sûr touché une bd d'astérix, et ont forcément tous en mémoire l'une de ses énormes bagarres, et là, la scénette prend vie! un truc de fou je vous dis, j'vous laisse voir les premières photos de cette pièce de malade! Déjà 1600 heures de boulot!

Yes Man - Ciné - 6/100

Carl Allen ne laisse aucune place au hasard ni à la folie dans sa vie. Il mène une vie morose et monotone jusqu'au jour où un de ses amis le traine dans un séminaire pour le "Oui". Sa vie va dès lors changer, ouvert au "Oui" et bafouer le "Non", son quotidien va se voir bonnifier par cette philosophie: promotion professionnelle, nouvelle petite amie... Mais jusqu'où ce nouveau style de vie sera-t-il bénéfique?

En tappant le synopsis je m'apperçoit que c'est exactement la même histoire que L'amour Extralarge, à la différence que dans ce dernier le protagoniste fait un séminaire contre le culte de la beauté physique et dans le film avec Jim Carrey, c'est pour l'ouverture à l'expérience. Bon je dis ça en écrivant mais ça ne m'a pas sauté au yeux, étant donné que l'atmosphère et surtout l'humour de ces films est totalement diffétente. J'avoue que je m'attendais réellement à un film avec un Jim Carrey totalement déjanté, chose qui ne me dérange pas mais qui n'a pas vraiment beaucoup d'intérêt. Là c'est en partie le cas, mais c'est pas lourd et du coup, ça touche relativement au but. Une bonne comédie qui à l'opposé des dernières comédies françaises que j'ai eu la "chance" de voir, ne tombe pas dans le ridicule non plus, et on se demande vraiment ce que pourrait devenir notre vie si on disait oui à tout?! Mais je pense qu'on pourrait se retrouver dans quelques unes des situations du film, et du coup profiter de certains aspect de la vie qu'on aurait pas forcément apperçu sinon.
Au niveau du reste du casting, on retrouve la très charmante Zooey Deschanel qu'on a malheureusement vu dans la bouze Phénomènes de Night Chimanman... elle a eu la force de rebondir... heureux pour elle, en plus, elle campe très bien son rôle et on s'attache rapidement à son personnage. On retrouve également Bradley Cooper, qu'on a pu voir dans la série Nip Tuck.
En gros, ce film n'a pas la prétention d'être la comédie de l'année mais tout simplement une bonne comédie et pour moi, ça a été le cas, maintenant la question est simple, vous laisserez vous tenter : OUI ou non??

Sept Vies - Ciné - 5/100

Ben Thomas protège un secret tous les jours, menant une vie solitaire dans laquelle il s'est promis de changer la vie de sept personnes qu'il ne connait pas. Jusqu'au jour où il s'attache à une de ses sept vies.

L'histoire est courte, mais en dire trop serait dévoiler le film dans son ensemble, c'est un peu le point négatif de ce bon film cependant, on comprend très, voir trop, rapidement le film et son aboutissement. Du coup l'intrique du film et sa chute s'en voient diminuées en force. On retrouve un bon Will Smith, un Will Smith acteur, qui n'a pas besoin de courir 50 km dans le film et de faire exploser 3 camions et 28 voitures, non une prestation dans le style de A la Recherche du Bonheur. Et comme du Jim Carrey sèrieux, c'est toujours agréable de les voir vraiment jouer la comédie.
Le reste du casting est à la hauteur, même si pour le coup c'est clairement Will Smith qui tient le film, épauler cependant par Rosario Dawson qu'on a vu déjà dans beaucoup de film mais notamment deux tueries du maitre Spike Lee : He Got Game & La 25ème heure.
Pour résumer ça reste un bon film, qui sera pas non plus à nominer au oscar non plus, mais qui se laisse regarder.

Che - 1ere partie - L'Argentin - Ciné - 4/100

Pour ce film, je ne vais pas faire de synopsis, car ça reviendrait à faire un cours d'histoire, et quelle histoire. Je dois bien avouer que j'étais un peu à l'ouest de ces évènements, je connaissais bien évidemment les grandes lignes et l'issue de cette rébellion, mais pas en profondeur, du coup je découvre. Je pense d'ailleurs que la plus part des ptits djeuns qui ont un poster du che ou un t-shirt à son effigie connaissent autant son histoire que moi... Chose qui me fait relativiser quand je vois qu'on est les premiers à critiquer certains pays du nord de l'Amérique... bon revenons à nos moutons et à notre Amérique latine. Donc pour ceux qui ne connaissent pas l'histoire je pense que ce film est une bonne mise en bouche, pour en suite aller lire les vrais lignes des livres d'histoire, ça reste un film donc je pense que Steven Soderbergh (le réalisateur) avit un scénare et pas juste un livre d'histoire. En plus la seule partie on va dire compliqué du film, est la partie politique de ce soulèvement populaire.
En tout cas, l'interprétation de Benicio Del Toro est à la hauteur du personnage qu'il incarne. A aucun moment je n'ai vu l'acteur, seulement le personnage.
Un autre régal du film, reste les guérillas, d'un réalisme percutant.
Je n'ai pas encore eu le temps de voir le deuxième volet mais il me tarde de clôturer ce chapitre de l'histoire cubaine.
Pour la petite histoire, le film Che, lors du festival de Cannes de 2008, où il avait été présenté, était en un seul film... de 4h15.... J'aurai peut être pas tenu là quand même....